Letzte Botschaft der Titan-Besatzung vor der Implosion enthüllt
Am Montag, dem 16. September, wurden die letzten Kommunikationen mit der Besatzung des Titan, der 2023 nahe dem Titanic nach einer Implosion verschwand, während einer Anhörung offengelegt. Was war die überraschende Enthüllung?
La tragédie du Titan : une lumière sur les dernières communications de l’équipage
Les échanges finaux entre l’équipage du sous-marin Titan et leur navire de soutien, le Polar Prince, ont été dévoilés lors d’une audience publique le lundi 16 septembre. Le dernier message, daté de juin 2023, était étrangement serein : « tout va bien ici ».
Reconstitution des derniers moments
Juste après cette communication, le Titan a cessé tout contact et a implosé, entraînant la mort des cinq personnes à bord. Une visualisation des derniers instants du sous-marin a été présentée par les garde-côtes américains lors de l’audience. L’image partagée montre le cône arrière du Titan, soulignant la gravité de l’accident.
The U.S. Coast Guard has released an eerie image of the wreckage of the OceanGate Titan submersible resting on the ocean floor, just 1,600 feet from the Titanic’s bow. The submersible tragically imploded in June 2023, claiming the lives of all five aboard.#oceangate #submarine pic.twitter.com/rzjEW4e9yH
— Bauvkin (@bauvkin) September 16, 2024
Témoignages et révélations
Au cours de l’audience, des témoignages ont été recueillis, y compris celui de Tony Nissen, ex-directeur de l’ingénierie chez OceanGate. Nissen a exprimé avoir été poussé à préparer le Titan pour des plongées malgré ses réserves sur sa préparation. Il mentionne des compromis en sécurité, dus à des contraintes de temps et de budget.
L’enquête a aussi révélé que le Titan avait été négligé aux éléments pendant des mois en 2022 et 2023, et que sa coque n’avait jamais été inspectée par des tiers, violant les procédures standards.
Une action en justice en cours
La famille de Paul-Henri Nargeolet, l’un des passagers, a porté plainte contre OceanGate, réclamant 50 millions de dollars pour homicide involontaire, critiquant le « historique troublé » du submersible et accusant la société de dissimulation d’informations vitales sur la fiabilité de l’appareil.