Israel-Hamas: Verdacht auf Beteiligung von 9 UNRWA-Mitarbeitern an den Angriffen vom 7. Oktober
Ein Sprecher teilte mit, dass Beweise der internen Kontrolldienste der UNO Hinweise auf eine mögliche Beteiligung von UNRWA-Mitarbeitern an den Angriffen vom 7. Oktober geben. Welche Auswirkungen könnten diese Enthüllungen nach sich ziehen?
ONU: Enquête révèle des liens entre neuf employés de l’UNRWA et le Hamas
Une enquête des Nations Unies indique que neuf membres de l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) pourraient être impliqués dans des attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre.
Initialement, en janvier, Israël avait accusé douze employés de l’UNRWA de participer à cette offensive, menée par le groupe islamiste palestinien.
Tensions entre l’UNRWA et Israël
Suite à ces allégations, l’UNRWA, essentiel au soutien humanitaire à Gaza, a fait face à des protestations et à la suspension de fonds par des donateurs clés. L’agence emploie plus de 30 000 personnes, dont 13 000 à Gaza, et joue un rôle vital pour environ 6 millions de réfugiés.
Clarification des accusations
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, a ordonné une enquête par le Bureau des services du contrôle interne de l’ONU (BSCI). Bien que pour une personne aucune preuve n’ait été trouvée, pour neuf autres, les preuves étaient insuffisantes pour prouver une implication directe, selon Farhan Haq, porte-parole adjoint.
Enjeu de la neutralité humanitaire
Haq a révélé que les preuves suggèrent une possible implication des neuf employés dans les incidents du 7 octobre, mettant en lumière l’importance de la neutralité humanitaire de l’ONU. En réponse, un porte-parole militaire israélien a critiqué la gestion de l’affaire par l’UNRWA, qualifiant la situation de « nouveau plus bas ». Haq a souligné la confidentialité des enquêtes internes de l’ONU et la limitation des preuves disponibles, tout en justifiant le licenciement des individus concernés. Pour des raisons de sécurité, les enquêteurs n’ont pas pu rencontrer les employés ou témoins directement, utilisant plutôt des déclarations vidéo.